Olympia Alberti
a fait ses études à l'Université de Nice, et à la Yoga Schule de Haich-Yesudian, à Ponte-Tresa (Suisse). Ecrivain
(poète, romancière, nouvelliste, essayiste), docteur-es-lettres, critique littéraire et chroniqueuse de sémantique, elle
est l'auteur d’une quinzaine de romans, dont Un jasmin ivre (Prix des Créateurs), Une mémoire de santal, La Dévorade (Prix George Sand), Le Royaume de sa nuit,Mère Teresa); de nouvelles (Le Noyau de safou, Carnet Mondain,
L’Orchidée de Bangalore); de poèmes (L'Amour palimpseste, suivi deLa Dernière
Lettre, Coeur rhapsodie coeur absolu, suivi de Requiem,
récompensés ensemble par le prix Archon-Despérouse de l'Académie Française ; L’autre côté du monde), et d’essais, sur Zola, Duras,
Rilke – qui a reçu le Prix de la Biographie de la Société des Gens de Lettres 2000. Giono, le grand western a reçu le Prix
Faguet de l’Académie Française.
A représenté la France aux Rencontres Internationales des Femmes Ecrivains, organisées par l’Université de Lima (Pérou) en 1999, et
la ville de Nice à Saint Pétersbourg, en 2012. Ses derniers livres : L’Amour dans l’âme, le journal disparu d’Etty
Hillesum ; L’or perdu de la joie (la rencontre Rilke-Camille Claudel), Le Désir de l’Ange (roman), Divines empreintes (poèmes) et Marguerite Duras, une jouissance à en mourir.
Sa devise: "En quelques signes, donner raison à l'Amour."