NUYTEN / FILM
France 2015
Réalisatrice Caroline Champetier
Avec la participation de : Bruno Nuytten
80mn, couleur.
Portrait de Bruno Nuytten, directeur de la photographie et réalisateur (Camille Claudel, 1988).
DURAS
SON NOM DU PERE DESERT
Association Marguerite Duras email contact@marguerite-duras.org tel. 06 72 76 27 69
à DURAS 47120
1 place du couvent
face l'hostellerie des Ducs
Ce site est celui de l'Association Marguerite Duras CENTRE MARGUERITE DURAS 1-3 place du couvent 47120-DURAS
06 72 76 27 69
contact@marguerite-duras.org
En 1943 à la publication de son premier roman "Les Impudents" Marguerite Donnadieu adopte le nom de Duras comme nom de plume. Ce lieu est celui d'une maison paternelle où elle vécut enfant durant deux années de 1922 à 1924.
Château de Duras 47120 - DURAS
Le village de DURAS et son château des Ducs de Durfort-Duras est situé aux confins de trois départements : Lot & Garonne (47) / Dordogne (24) / Gironde (33)
PHOTOS 18 au 22 mai DURAS fait son CINEMA
MARGUERITE DURAS : Réalisations
Détruire, dit-elle Interprètes : Catherine Sellers, Nicole Hiss, Michael Lonsdale, Henri Garcin et Daniel Gélin (1969) NB. Nathalie Granger Interprètes : Lucia Bosé, Jeanne Moreau Gérard Depardieu, Dionys Mascolo et Valérie Mascolo. (1972) NB. La femme du Gange Interprètes Catherine Sellers, Nicole Hiss, Gérard Depardieu, Dionys Mascolo ; voix Nicole Hiss, Françoise Lebrun (1974), couleur. India Song Interprètes : Delphine Seyrig, Michael Lonsdale, Mathieu Carrière, voix de Marguerite Duras et Nicole Hiss. (1974) couleur. Son nom de Venise dans Calcutta désert (1976) couleur, dans Duo Duras montage d'un travail expérimental. Des journées entières dans les arbres Interprètes Madeleine Renaud, Bulle Ogier, Jean-Pierre Aumont (1976) couleur. Le camion Interprètes : Marguerite Duras et Gérard Depardieu (1977) couleur. Le Navire Night Interprètes : Bulle Ogier, Dominique Sanda et Mathieu Carrière, voix de Marguerite Duras et Benoît Jacquot. (1979) couleur. Césarée (1979) couleur. Les mains négatives (1979) couleur. Aurélia Steiner (Vancouver) (1979) NB . Aurélia Steiner (Melbourne) (1979) couleur. Agatha et les lectures illimitées Interprètes : Bulle Ogier et Yann Andréa, voix de Marguerite Duras et Yann Andréa. (1981) couleur. Les enfants Interprètes : Axel Bogousslavsky, Tatiana Moukhine, Daniel Gélin, André Dussolier et Pierre Arditi. (1984) couleur.
MARGUERITE DURAS Scénario et/ou dialogues
Hiroshima mon amour réalisé par Alain Resnais. Interprètes :Emmanuelle Riva, Eiji Okada. (1959) NB. Sans merveille réalisé par Michel Mitrani. Interprètes : Alexandra Stewart, Jean-Claude Pascal. (1964) NB. Les rideaux blancs réalisé par Georges Franju. Interprètes : Hélène Dieudonné et Michel Robert (1965) couleur.
MARGUERITE DURAS à la télévision
Chambre noire : Marguerite Duras, du mot à l'image réalisé par Daniel Georgeot. Marguerite Duras, Jean Mascolo et Jeanik Ducot projettent de traduire en images Le ravissement de Lol V. Stein. Interprètes : Marguerite Duras et Loleh Bellon. (1968) NB.
MARGUERITE DURAS raconte
La caverne noire suivi de Work and words Réalisation Jean Mascolo et Jérôme Beaujour (1984) couleur.
Univers DURAS
Le château de Pointilly de Adolpho Arrietta,. Interprètes : Françoise Lebrun, Dionys Mascolo et Virginie Mascolo. (1972) NB. La Princesse palatine à Versailles : portrait d'une famille royale de Michelle Porte, dans le château de Versailles la nuit. Voix : Dionys Mascolo et Geneviève Page. (1984) couleur. Emmanuelle Riva, c'est toi de Michelle Porte (2016) couleur, première diffusion en avant-première. Oublier Duras de François Barat Producteur du Camion et de Son nom de Venise dans Calcutta désert (2014) couleur.
28 films 20 invités
NUYTEN / FILM
France 2015
Réalisatrice Caroline Champetier
Avec la participation de : Bruno Nuytten
80mn, couleur.
Portrait de Bruno Nuytten, directeur de la photographie et réalisateur (Camille Claudel, 1988).
« Le travail de Bruno Nuytten m’a toujours passionnée. Le projet du film s’est mis en place au Fresnoy, école où j’ai été artiste-invitée pendant une année.
Bruno est une personne très secrète qui fuit parfois comme un animal sauvage…
La forme du film s’est façonnée avec le temps. Avec comme volonté première de faire entendre Bruno sans représenter sa parole. C’est pour passer en quelque sorte en dessous de cette parole que j’ai décidé de filmer chez lui, alors qu’il était en train de poser du parquet… Assez miraculeusement, la problématique du rapport entre l’art et l’artisanat du cinéma s’est synthétisée à ce moment. C’est un film sur le geste. (…) Bruno a été à l’endroit même et au moment même où un grand chambardement commençait à se produire dans la fabrication des films. Et il l’a senti. Ne plus pouvoir comme il en avait l’habitude passer du temps sur le plateau, faire les fondus-enchaînés à la prise de vues, retoucher en direct telle ou telle partie de l’image en dessinant au feutre sur une vitre entre l’optique et le sujet, ou encore flasher à la prise de vues comme il a pu le faire d’une manière extrêmement audacieuse sur Barocco sont autant de raisons qui l’ont forcé à s’écarter. Perdre cette liberté du geste, pour rentrer plus tard dans l’univers numérique, du “tout sera fait à l’étalonnage”, était impossible pour lui. (…) Il y a aussi un vrai mystère sur l’endroit où il place le réalisateur. » (Caroline Champetier)